Négationnisme....
Négationnisme....
Non content de dispenser des cours revisité par la pensée catho tradi, un de nos profs d'histoire était (efin est puisqu'il enseigne encore) ouvertement négationniste. Ce dernier se reconnaitra : ce n'est pas tout le monde qui ose tenir de tels propos négationnistes à gamins qui écoutent bouche bée un historien écrivain: " tout ce qui se dit sur la déportation n'est que salades et l'existence des chambres à gaz n'est que fumisterie" Bien sur, il démentirai probablement. Quel dommage que les portables n'existaient pas, une petite vidéo aurait appuyé mon propos avec efficacité. Je pense même que cela ferait un buzz dans les médias !
Je me souviendrai toujours des cours de ce singulier, personnage. Tout se déroulait invariablement de la même façon : sans jamais regarder les élèves, et en décrivant des allers retour entre les deux murs, dont l'aller permettait l'écriture d'une ligne supplémentaire, et le retour effaçait les lignes les plus anciennes. Tous les cours d'histoire / géo se passaient donc sans surprise : on grattait pendant deux heures. Le texte était à appendre par cœur et une interro tombait invariablement au cours suivant. Que d'heures perdues.
Jamais de diaporamas, de photos, d'échanges avec les élèves. Les questions étaient entendues mais on sentait bien que cela sortait du cadre et que cela dérangeait. Cet homme était dans son monde. Je me souviens aussi avec bonheur, mettre fait vider à coups de pieds au cul par ce prof, car je m'étais endormi suite à un cours soporifique et à une nuit de cavalcades.
Témoignage 5
Bonjour,
C'est moi qui ai averti l'hébergeur du site de vos propos
diffamatoires et qui lui ai demandé de les modérer. Je le signe de mon
nom, chose que vous n'avez même pas le courage de faire, ce qui prouve
votre lâcheté.
Soyez rassuré : vous n'êtes pas persécuté. Je ne représente en effet
rien ni personne en dehors de moi-même, mais j'ai trouvé vos propos
scandaleux.
Oui, scandaleux, dans leur teneur. J'ai moi-même été pensionnaire à Châteauroux : pas aussi longtemps que vous puisque je n'y suis resté
que 10 jours. Je n'ai pas été "viré" mais cela ne m'a pas beaucoup
plu. C'est vous dire mon "embrigadement" psychologique puisqu'à l'âge
de 13 ans j'ai déclaré à mes parents que cela ne me plaisait pas d'y
rester car, à la vérité, je trouvais cela bien trop "cool" et
"parisien" comme ambiance.
Pour autant, durant ces 10 jours, je n'ai jamais ressenti ce que vous
énoncez et, aujourd'hui encore, j'ai beaucoup d'amis qui y sont restés
plusieurs années : dans cette même école de Châteauroux ou à Camblain
ou ailleurs encore. Et aucun ne relate les faits que vous énoncez. Au
contraire, ils se pressent chaque année aux réunions d'anciens pour
retrouver leurs anciens camarades, professeurs, surveillants et
aumôniers. C'est dire, là encore, l' "embrigadement".
Je garde au contraire à l'esprit les petits trafics de cannettes de
Coca que le corps professoral faisait mine d'ignorer, et les parties
de foot jusque tard. Je n'aime ni le foot, ni le coca, donc ce n'était
pas pour moi... Et c'était bien du temps des abbés C. et L., à la même
époque que la vôtre.
D'autre part, votre rancœur doit venir d'ailleurs pour que, bien des
années plus tard (environ 15 ans je pense) vous trouviez le temps
d'accoucher d'un blog pour faire part de vos ressentiments sur le ton
de l'outrance et de la diffamation. Cela est bien regrettable.
Vous auriez sans doute du goûter un peu plus longtemps les
établissements publics (j'y ai fait 10 ans) pour comprendre un peu
plus la chance que vous avez eu de ne pas y aller...
J.D.
PS : n'hésitez pas à poster ma contribution !
Bonjour,
Je suis bien aise que vous me contactiez directement, j'aimerai aussi
vous parler de vive voix : 06 27 76 56 32, si vous le désirez, n'hésitez
pas .
Je vais essayer de vous répondre de façon claire, non pour le plaisir de
la contestation, mais juste dans l'espoir que vous pensiez mon
témoignage sincère.
Si je ne signe pas, ce n'est pas pour me protéger d'un risque qui
n'existe pas, mais pour ne pas peiner mes parents qui adhèrent toujours
a la tradition.
Je suis d'accord que mes propos allaient susciter des réactions, puisque
je citait des noms, je les enlève de bonne grâce, cela devait arriver.
Propos scandaleux ? oui, mais faits scandaleux ! vous avez l'honnêteté de
dire que vous n'êtes resté que 10 jours a Châteauroux ? je ne commente
même pas . Enfin, si : vous avez de la chance. Pour le renions
d'anciens, çà ne prouve rien, Hitler aussi déplaçait les foules, et sans
ironie , c'est bien de l'embrigadement.
pour le coca, , le trafic n'a pas duré, je vous rassure ! Je pense que
vous parlez de cela pour mentionner le relâchement général qui régnait
alors ?
Pour la rancœur, 15 ans après, j'avoue que j'en ai, (cela est bien la
dernière chose qui m'empêche de vivre sereinement) et en effet ce n'est
pas la seule raison qui m'a poussé à écrire ce blog. Je l'ai écrit afin
que certains parents qui mettent leur enfants dans ces écoles soient
vigilants. Je vais bientôt prendre le temps de remanier ce petit blog De
ce blog, j'en suis fier, et en consultant les statistiques de visites, je suis
motivé à le rendre plus lisible.
J'attends des témoignages , qui mentionneraient que le temps des
châtiments corporels est bien fini. J'en serai heureux.
Concernant les établissements publics, il s'y passe des faits peut être
similaires ou pires, mais cela n'est pas une raison pour ne pas dénoncer
l'injustice et la méchanceté.
De mon coté, dans les établissement publics, j'ai eu la chance de
rencontrer que les profs dont les propos sont constructifs, et poussent
l'élève à se dépasser. A Châteauroux, pour motiver l'élève , on lui
disait, " vous êtes le dernier de la classe, et il y a bien des chances
pour que vous le restiez toute votre vie".
Je posterai votre contribution, et ma réponse.
Voila, j'espère avoir été convainquant... et espère votre réaction.
Témoignage 4
Monsieur,
Les
hasards de l'internet m'ont fait découvrir votre site alors que, par curiosité,
je cherchais s'il l'on pouvait trouver quelque chose à propos de l'Ecole X,
sur le réseau des réseaux. C'est que je
suis moi-même un ancien élève de cette institution peu banale.
Vous
témoignez du grand échec que fut pour vous le passage dans cette école, et vous
ne taisez pas les souffrances qu'il a occasionnées. Je suis heureux de lire un
tel compte rendu dans la mesure où j'avais fini par croire que l'école X
n'avait suscité, de la part de ceux qui l'avaient fréquentée, aucune
rébellion...
Dirais-je
que je partage votre extrême sévérité ? Permettez-moi, avant de répondre, de me
présenter un peu. Descendant d'une famille de la grande bourgeoisie, mais
marqué par les ferments de "décadence" viscontienne qui s'y étaient
introduits au fil du temps, je dois d'abord préciser que mon portrait est fort
éloigné de celui de l'ancien élève type de M. X (dont je garde d'ailleurs un
vif souvenir). Jugez-en plutôt : franc-maçon, agnostique, presque décidé à
demander qu'on me "débaptise" tant m'agacent certaines prises de
positions de Rome, amateur de beaux garçons plutôt que de jolies filles,
diplômé de philosophie mais nullement thomiste, politiquement à gauche
(et presque d'une gauche très radicale tant j'ai horreur de la
sociale-démocratie), je me range dans la catégorie de ceux que les
flammes de l'enfer ne devraient pas épargnés. Mais je suis aussi un parfait
sceptique et un homme à paradoxes. Je me flatte, même si je n'y suis pour rien,
de descendre soixante fois d'Hugues Capet, et la mythologie bêtifiante de la Révolution
Mais
j'en reviens à notre sujet. J'ai été envoyé fort jeune à l’école X (j'avais six
ans) et, pendant les trois années que j'y ai d'abord passées, j'ai joui d'un
relatif traitement de faveur. L'abbé X m'avait à la bonne, quant à l'abbé Y, il
s'occupait des "grands". Mais ce que vous dites des claques est vrai
; j'ai vu voler en plein réfectoire des gifles magistrales que je n'oublierai
pas. Quant aux coups de ceinturon, j'en ai entendu parler. Etais-je heureux ou
malheureux à cette époque ? Je ne saurais dire. Guère heureux, sans doute, mais
point malheureux non plus. C'est quelques années plus tard, lorsque je suis
retourné à Saint-Michel en classe de cinquième, que j'ai beaucoup souffert. Je
n'avais nul souci avec l'abbé X ;
en revanche, l'étrange corps professoral - dont vous dites bien l'incroyable
bigarrure - ne me comprenait guère, et c'était réciproque. Quant au fameux
Frère X. - vous voyez de qui je veux parler -, ce que je pourrais en dire
ici me mènerait au tribunal pour diffamation. En fait, ce furent surtout mes
camarades qui me firent subir les pires avanies : jugeant que mes manières
étaient efféminées, ils m'ostracisèrent en permanence et ne m'épargnèrent
aucune rebuffade (à quelques exceptions près, bien sûr). J'en ai souvent versé
des larmes amères après que la lumière fut éteinte dans les grands dortoirs où
l'on nous parquait la nuit.
Dieu
merci (...), je poursuivis ma scolarité à Saint-Joseph des Carmes. Fut-ce l'influence
du climat ? J'y ai mieux vécu. Il y avait là, naturellement, toutes sortes de
cas : mais je ne m'y suis pas fait que des ennemis. Et il y avait, dans le
personnel de direction, un homme remarquable par sa largeur d'esprit, qui
acceptait parfaitement que je n'aie pas la foi (cela ne m'empêchait pas d'aller
à la messe trois fois par semaine, comme les autres), et avait bien compris que
je n'étais pas tout à fait comme les autres. De même, j'ai eu là de bons
professeurs, et de fort médiocres. Bon élève (quoique atypique), je fus reçu au
baccalauréat avec mention bien et admis en hypokhâgne.
Cette
éducation réactionnaire (point amusante tous les jours) a-t-elle été
exclusivement négative ? Elle a développé chez moi l'esprit critique, et m'a
donné du goût pour la subversion. Ce n'est pas si mal. Cela dit, elle m'a aussi
coûté très cher sur le plan psychologique. Eût-ce été mieux dans un lycée
public ? Je n'en sais que trop rien, tant mon cas me paraît singulier. Dans un
bon lycée, probablement ; dans un lycée médiocre, ce n'est pas sûr.
Quant
à la discipline qui régissait ces établissement, je la juge aujourd'hui avec
nuance, au vu de mon expérience de professeur de l'enseignement public. Il va
de soi que c'était étouffant et anachronique. Pour autant, je n'oublie pas que
l'homme est fait d'un bois tordu, et que l'éducation doit le détordre. La
licence qui règne aujourd'hui dans les lycées ne mène à rien non plus, et c'est
la possibilité d'une instruction qu'on finit par mettre en péril. Croyez que
j'en sais quelque chose. Je n'ai aucun goût pour la chose militaire, je suis
même libertaire à mes heures, mais je crois que la liberté se conquiert. Si mes
chers élèves devaient porter blazer et cravate, ils laisseraient probablement à
la porte du lycée la part détestable de la jeunesse que notre société leur a
fabriquée.
Bien
sûr, cher Monsieur, mon expérience rejoint la vôtre - encore que par d'autres
chemins. Mais je me refuse à me laisser aveugler par la force du rejet que peut
m'inspirer l’école X et ses monstres.
Très
cordialement.
Témoignage 3
« bonjour "sempervirens" : j'ail lu
avec beaucoup d'intérêt et d'émotion ton récit sur les écoles tradis. J'y
souscris comme "rescapé" à 1OO pour cent. Issu d'une famille tradi,
nous nous sommes trouvés avec mes cousins et cousines à la fin des années 60,
entraînés par nos parents fanatiques dans le mouvance de l'abbé de Nantes et
autres groupuscules ultra-tradi. Dans la région où je vivais, un ancien moine a
monté son propre mouvement où nous sous sommes retrouvés embrigadés avec
d'autres familles. Notre éducation déjà très sévère, est devenue alors encore
plus stricte, le religieux conseillant sans cesse nos parents, et les orientant
vers une discipline toujours plus draconienne pour lutter contre le mal. C'est
alors qu'il a fondé en 1975 un internat en pleine campagne où nous avons été
inscrits avec mes frères et une quarantaine de garçons. Deux prêtres tradis en
rupture l'ont rejoint pour les cours et l'organisation. J'y suis resté trois
ans de 12 à 15 ans. C'était un véritable embrigadement, négation de nos
personnalités. On y pratiquait bien sûr les châtiments corporels avec
l'assentiment de nos parents, martinet en classe pour la moindre insolence ou
incartade, fouet administré devant tout le monde par le père supérieur pour
fautes plus lourdes. Finalement des parents se sont inquiété et ont enlevé peu
à peu leurs enfants, et l'expérience s'est arrêtée au bout de trois ans, car
nous n'étions plus qu'une dizaine. Mon père m'a alors mis dans une pension plus
classique jusqu'à mon bac. Les brimades que j'ai subies m'ont cassé pour
longtemps, et presque trente ans après, je fais encore des cauchemars. Merci
de votre témoignage »
Témoignage 2.
« A la suite de la lecture de votre site, il me
semblait bon de réagir au propos que vous tenez à l’égard des traditionalistes,
en effet je voudrais par cet e-mail d’ une part vous féliciter du courage que
vous avez eu à publier ce que vous pensiez et d’ autre part de vous faire part
d’une partie mon expérience dans cette
communauté « tradi » en effet, j’ai
passé 10 ans de ma scolarité dans ces écoles (de filles) et j’ai ressenti les
mêmes choses que vous. Mes résultats étant très moyens, sans cesse les « bonnes
sœurs » me disaient : vous n’ arriverez à rien dans la vie, je vous
conseillerai de prendre des cours par correspondances de couture (bien
évidemment ! car il faut savoir que l’ objectif premier que doit avoir une
femme c’est de trouver un mari le plus tôt possible après le bac et d’avoir une multitude d’enfants, se serait
rater sa vie que de viser une carrière professionnelle) ainsi se sont les
discours quotidiens que pouvaient tenir «les bonnes sœurs» en cours
d’instruction religieuse. Ainsi face à cela, de nombreuses jeunes filles, qui
ne voyaient en ces discours que la
vérité, suivaient à la lettre ces propos. Mais moi, ayant des parents ouverts
et comprenant la peine que j’avais à aller dans ces écoles, ils décidèrent pour
ma première et terminale de me mettre dans une école dites « normale ». En
arrivant là-bas, j’ai ressenti une libération car la coupe que pouvaient avoir
les bonnes sœurs sur nous m’était très pesante. Ainsi j’ai pu faire une
première avec des résultats corrects, chose qui m’était impossible chez les
religieuses. Je voudrais ici rester anonyme du fait que mon nom n’est pas
étranger à cette communauté. Avec toutes mes félicitations pour ce site, je
vous souhaite bon courage dans le combat que vous menez contre cette communauté
qui gâche de nombreuses vies. »
Contact.
Je suis heureux de recevoir des mails constructifs, régulièrement; dans la mesure du possible, ils sont tous publiés. J'usqu'a présent personne n'a contredit les faits décrits.
Merci de laisser votre message en fin de chaptitre, je les recois en doublon sur mon mail.
Témoignage 1.
« Après avoir passé douze ans dans les écoles
traditionalistes, il me semble pouvoir porter un jugement global sur la manière
et le comportement qu’utilisent les dirigeants de ces établissements. J’aimerai
tout d’abord parler de l’esprit de ces écoles: j’ai eu l’impression d’être dans
un camp militaire. Le directeur avait l’allure d’un colonel. Nous nous
mettions, avant les repas, en rang et en silence dés le coup de sifflet. Bien
souvent c’est le silence qui règne, au réfectoire… C’est un esprit
disciplinaire exagéré. Ces «éducateurs» veulent soit disant que leur élèves
deviennent des hommes forts et non des «mollassons» mais en réalité cela
n’apporte rien, sinon du mal pour leur vie future. Nous ne sommes pas tous des
militaires. La plupart des enfants ont besoin de grandir dans un esprit ludique
et non entre quatre murs, surveillés en permanence par des militaires. Tout
cela est sans parler de la religion qui est bien entendu le centre de
l’éducation traditionnelle. Là encore j’ai eu l’impression d’un
endoctrinement».
Remerciements.
Je tiens ici à me remercier et à me féliciter tout particulièrement.
Pour oser faire une critique publique d'une organisation dont les pratiques sont illicites.
Pour le fait d'avoir su rebondir sur les faits passés afin d'essayer d'en tirer bénéfice.
Pour avoir su jour après jour arracher toutes racines et radicelles de la culture de pénitence et de souffrance (masochiste) que l'on m'a inculqué.
Merci aussi à Internet, le réseau des réseaux, nouvelle pierre philosophale, nouvelle encyclopédie Diderot et d'Alembert, qui me permet de dévoiler la mauvaise nouvelle à tous ceux qui veulent bien la lire.
Merci à Google qui référence si bien ce blog, prouvant qu'il est particulièrement pertinent, et par la même occasion je remercie les tradis qui visitent souvent ce blog, contribuant ainsi a son bon placement dans les recherches. (3ieme place dans la liste et bientôt 40.000 visiteurs depuis 2008.)
le simple fait de rentrer dans une église, ou d'entendre des chants grégoriens me fais frissonner d'horreur.
Mais je remercie tout particulièrement ceux qui osent m'apporter leur témoignage, montrant ainsi que je ne suis pas le seul a dénoncer ces faits.
L’avenir de la tradition.
Soutenue
essentiellement par les dons, quêtes, et par le prix des pensions, l'équilibre
financier est parfois difficile mais relativement stable, au vu des nombreuses
années qui ont rodé les rouages du système. Le développement de la tradition
dans le monde entier, lui permet de créer des îlots économiques qui
s'entraident en cas de coups durs. La mondialisation à du bon… Une grosse somme
d'argent n’est pas forcement nécessaire à la vie d’une communauté, pour preuve,
les premiers chrétiens martyrs romains n’avaient pas besoin d’argent pour se
réunir. Je cite ces pauvres gens car ils sont pour le tradi, le modèle à
suivre. Idéal de la culture de souffrance. Les couples tradis ont généralement
beaucoup d'enfants, cette mouvance que beaucoup qualifient à tort ou à raison,
de secte, n’est donc pas près de disparaître. Ce n’est pas parce que le
pèlerinage de Chartres - Paris est moins fréquenté que le tradi est en voie de
disparition. En temps voulu, on en attrapera un couple; même en captivité, ils
se reproduisent. (merci Coluche!)